UFC Que Choisir est alliée à EDF, comme elle l'est à tous les grands lobbys de l'eau (La Lyonnaise des Eaux....), ou comme avec le lobby du tourisme Pierre et Vacances.....Moyennant ces alliances, on lui laisse le bout de gras pour chercher le meilleur produit, ou la meilleure machine à laver.... Cette association qui n'est pas libre joue le rôle d'un leurre
Si nous avions pu travailler avec elle pour faire liquider le temps partagé, on n'en serait pas là aujourd'hui !
Voilà un bon exemple de ce qu'est une association "reconnue" d'utilité publique: elle touche des subsides de l'Etat, mais attention, on ne touche pas aux rouages essentiels de la société... car une telle association doit faire allégeance....
20-12-17
Rien à voir avec le temps partagé, mais cette nouvelle prise de position en faveur des compteurs Linky et contre Stéphane Lhomme est un nouvel indice inquiétant sur Que Choisir. Cette association est-elle subventionnée par un certain nombre de Holdings avec une petite plage de critiques autorisées sur la consommation courante ?
Avec une certaine stupeur, nous découvrons un article de
Que Choisir pour septembre, sur Sofilot, qui constitue un mensonge absolu. Peu
nous importe car Sofilot saura se défendre, et nous n'avons pas l'habitude
de défendre les financiers.
Mais nous sommes surpris que Que Choisir
persiste dans ses stupidités et sa désinformation.
Sofilot paye
les associés ou actionnaires et leur achète les parts ou les actions
à petit prix mais Sofilot paye (ou alors qu'on nous présente
des documents prouvant le contraire).
Ce après quoi Sofilot demande que la dissolution soit votée en AG. Elle l'a été dans tous les cas, avec des difficultés aux Arcs.
Ensuite se pose la question de la vente de l'immeuble, et de la répartition de la somme de la vente entre les actionnaires ou associés, dont Sofilot est partie prenante... Le problème est celui du prix retenu, de la vente, et du compère qui achète. Là aussi il peut y avoir des problèmes sur le prix. Mais celui qui répartit la somme après la vente, est un liquidateur qui n'est pas Sofilot, lequel liquidateur a été élu en AG de dissolution.
Donc dire que Sofilot ne paye pas est un mensonge (c'est l'objet de l'article).
Embrouiller la question entre la vente des parts ou actions et la répartition
du prix de la vente de l'immeuble, témoigne d'un incompétence
rare, ou d'une hypocrisie volontaire.
Pourquoi par ailleurs, Que Choisir continue d'appeler le temps partagé,
la multipropriété
Les lecteurs apprécieront le document ci-dessous:
Le 4-12-11 Mr B nous demande d'insérer :
Je relis votre page http://www.tempspartage.org/ufcquechoisir.phpPourriez vous
corriger la phrase "Sofilot paye les associés ou actionnaires et
leur achète les parts ou les actions à petit prix mais Sofilot
paye (ou alors qu'on nous présente des documents prouvant le contraire)."NON,
Sofilot ne paye pas les cessions qu'il achete, du moins pas dans des conditions
normales!
Dans votre message, vous demandez des preuves... En voici quelques exemples
que vous pourrez vérifier*, apres un résumé:
*je peux vous communiquer le tel et email de personnes si besoin
-Sofilot paye (la cession) le plus souvent en 3-4 mois, et parfois ca prend
6 mois
-il ne paye pas la totalité de la cession: le fonds de roulement (FR),
quand il est remboursé, demande un délai encore supérieur,
en fait jusqu'à la cloture de la liquidation, soit 1 an dans le cas de
la SCI BelleChalles aux Arcs1800 !
-les seuls associés qui soient payés rapidement sont 1/ceux qui
ont signé en agence après avoir eu le chèque en main (payement
immédiat) 2/ceux qui sont a jour de leur charge et en début de
processus de rachats (et j'ai plus souvent entendu 1-2mois que 15 jours)
-en fait, Sofilot ne paye que quand bon lui semble, en fonction de sa trésorerie,
que quand il est contraint de le faire!, en utilisant tout moyen pour repousser
le payement et tirant les délais tant que possible, voire en antidatant
des payements pour limiter le risque d'être poursuivit pour ca. Voir les
exemples de Mr M et H.
Si ces associés (et d'autres) n'avaient pas fait de mise en demeure de
payer, voire impliqué un avocat, ils attendraient encore (au moins pour
le FR). Je ne serai pas surpris que certains associés n'aient jamais
été remboursés de leur FR, tout simplement car ils ne s'en
souvenaient pas, n'ont par réclamé, ou n'ont pas eu les moyens
/ la perséverance! Sur la totalité des SCI liquidées, de
Menton,( Bois d'Arouze :inexact, les Arcs/GrandRenard et BelleChalles..).
ca représenterait un montant substantiel!Par ces délais de payement
abusifs, le but de Sofilot est bien sur de gagner de la trésorerie, aux
frais et risques de l'associé cédant. Car ceux ci doivent dépenser
du telephone, du courrier AR (auquel Sofilot ne daigne meme pas répondre),
voire de l'avocat: Car ceux ci n'ont souvent aucune preuve du montant de leur
fonds de roulement A LA DATE de la cession (que ClubHotel semble d'ailleurs
bien incapable de pouvoir justifier retrospectivement).
Note de l'ADCSTP: Nos victimes qui ont revendu à Sofilot voulait
donner leur séjour pour 1 euro. Elles n'ont jamais revendiqué
ce que vous appelez "les conditions normales", où y a-t-il
des conditions normales dans le temps partagé en France ???. Elles étaient
bien contentes de revendre pour 1000 ou 2000 euros. Le Bois d'Aurouze ne fait
pas partie des sociétés dissoutes, mais Villard de Lans, Chamrousse,
Cap d'Agde, Cannes Marina, Chamonix, JAUSIERS.
On ne peut confondre Sofilot, financier probablement sans scrupule, avec nos escrocs souterrains du temps partagé....
Le 30-5-11
Mme
Elisa Oudin
UFC Que Choisir
223 Bvd Voltaire
Paris 75011
Madame
Elisa Oudin,
J'estime de mon devoir de répondre, au nom de l'ADCSTP,
à votre article paru dans Que Choisir de juin 2011 " Evitez les
pièges de la revente ".
Puisque vous avez travaillé
avec l'APAF, je suis étonnée que des erreurs n'aient pas été
corrigées par cette association.
Mais surtout je trouve dommage que
vous ne mettiez en garde les consommateurs que contre la soi-disant revente du
temps partagé, sans dire un mot de ce qui fait le plus de ravages parmi
les touristes consommateurs aujourd'hui, à savoir les propositions d'adhésions
à des clubs qui invitent à signer des contrats fort chers, de séjours
et de voyages dits peu chers, à tarif réduit, à tarif moins
cher
etc, et qui gagnent la confiance des gens en " offrant "
des séjours à l'étranger : le Maroc entre autres. Evidemment
les tarifs de ces voyages sont les mêmes que ceux que vous trouvez sur internet.
Donc les gens payent une adhésion très élevée qui
ne sert à rien, et qui relève d'une escroquerie. Ces sociétés
font parfois en même temps de la " revente ".
Que vous
ne vouliez pas travailler avec nous, c'est une chose, que vous passiez sous silence
ce qui est essentiel aujourd'hui, c'en est une autre. Ces propositions d'adhésion
émanent en général de sociétés dirigées
par des français et des belges basés au Maroc, et c'est le fait
des anciens amis de Christine Pambouc (arrêtée en 2008 et sûrement
dans la nature aujourd'hui par la grâce de la justice) qui travaillaient
dans RESA DIRECT, ex UTC. Aujourd'hui ces sociétés sont des rabatteurs
pour CCC, une société escroc (d'origine anglaise ?) qui a eu des
ennuis judiciaires en Espagne en 2009, qui n'a plus de rabatteurs dans ce pays
mais y a conservé son siège social. Mme Lise Nicolle de l'APAF doit
savoir tout cela par cur.
Il serait honnête pour les consommateurs,
que vous extrayez de ce qui précède une info pour votre revue pour
les vacances qui viennent " Evitez les pièges des voyages et séjours
soi-disant pas chers
.. qui vont vous coûter très cher ".
C'est, me semble-t-il la critique majeure à vous faire.
Mais
j'en ferais d'autres.
Vous parlez de Strategy Conection correctement, mais
sans dire que cette société est en procédure à Versailles
depuis
.2004, avec le juge Gallaire, bien nommé.
Enfin ce qui
m'étonne vraiment, c'est que vous persistiez avec votre collègue
Seznec à parler de multipropriétaires, de multipropriété,
exactement comme un gérant de temps partagé qui a le souci de faire
croire que les gens sont réellement propriétaires de quelque chose,
alors que la loi ne fait plus état de ces termes depuis 1994 en Europe,
et 1998 en France, sauf sous la plume de fonctionnaires incapables de lire les
textes de loi. Ceci vous amène à écrire des sottises du genre
"
lorsque le multipropriétaire est contacté par des associés
de la société civile qui ont reçu
. " (Sens ??)
; ou encore " les statuts en multipropriété
" :
Cela n'existe pas ! Il n'y a que des société civiles immobilières
ou des sociétés anonymes de temps partagé, avec des associés
ou des actionnaires, et des statuts de sociétés.
Les gérants
persistent, vous persistez. Vous faites le choix d'une certaine désinformation
Pour finir, vous laissez croire indirectement que la société
Sofilot qui travaille pour Immo Vauban serait du genre de Strategy Conection.
Cela n'a rien à voir.
Derrière Sofilot, société
française qui ne se planque pas, il y a des financiers qui veulent racheter
les parts ou les actions des SCI, SCIA, SA de temps partagé, pour, comme
vous le dites, faire voter la dissolution des sociétés et racheter
à bas prix les résidences. C'est de bonne guerre et légal.
Vous oubliez de dire que ceux qui leur ont vendu leurs parts l'auraient fait même
pour 1 euro, tellement ils étaient heureux de pouvoir enfin se séparer
de ce maudit temps partagé français. Sofilot ne fait qu'exploiter
un mécontentement extraordinaire, construit méthodiquement par Pierre
et Vacances puis par les gérants de ces sociétés qui se comportent
comme de véritables escrocs.
Au lieu de ne faire exister le temps partagé qu'à de bonnes périodes
pour un nombre réduit de semaines, les gérants choisissent de
porter à bout de bras ces sociétés en quasi faillite uniquement
pour encaisser jusqu'au bout des honoraire extravagants, de l'ordre de 80000
à 100000 euros annuels. C'est pourquoi nous demandons l'abrogation
pure et simple du temps partagé français, et c'est pourquoi l'APAF
n'est pas pour l'abrogation. Ce que vous ne direz jamais évidemment.
Il
est vrai que ceux, parmi les ex associés, qui veulent tenter de récupérer
leur mise de départ, ont raison de vouloir faire revendre les résidences
à bon prix, c'est-à-dire à prix élevé
.
Mais ça n'est pas l'objectif de Sofilot.
Notre étonnement a toujours été immense concernant le
refus des journalistes de Que Choisir d'informer correctement dans le domaine
du temps partagé, alors que vous informez correctement dans d'autres
domaines.
Nous vous signalons tout de même que Pierre et Vacances lâche (en
paroles) le temps partagé français et que Mr Brémond a
déclaré dans une AG des actionnaires le 3 mars dernier (2011)que
le temps partagé avait désormais une image déplorable,
info qui figure sur le site de l'APAF.
Nous aimerions que Que Choisir accepte de travailler avec nous !
Salutations amicales pour l'ADCSTP .. AM Chartier
Il n'y a jamais eu de réponse à ce sujet car UFC Que CHOISIR défend Mr Brémond et est pour le temps partagé.
Nous invitons à nouveau UFC Que Choisir à agir avec nous. Nous voudrions une rencontre. Aujourd'hui nous sommes pour la supression pure et simple du temps partagé par voie légale et parlementaire. Peut-on en discuter ?
A l'Association de Défense des Consommateurs
de semaines en temps partagé
2 place Beaumarchais
38130 Echirolles
Le 27 mars 2006
Madame la Présidente,
Comme annoncé dans mon mail du 13 mars, la commission logement de lUFC Que Choisir, que je préside, sest réunie le 24 mars.
Votre sujet était à lordre du jour, je vous fais part de nos conclusions.
Le Timeshare nest pas une priorité dans nos travaux. Nous avons eu peu de litiges les années passées sur le Timeshare en France et à létranger. Notre intervention est très marginale comme vous lécrivez dans lun de vos courriers. Les consommateurs victimes que nous recevions, nous les avons envoyés vers des associations spécialisées dans ce litige, comme la vôtre.
Nous nignorons pas que le problème existe, comme il en existe dans dautres domaines.
LUFC Que Choisir na pas vocation de reprendre les actions des associations quelles nont pas pu mener à bien.
LUFC Que Choisir défini et mène sa politique daction seule. Aucune pression ne la déviera de ses choix par des actions invasives.
La commission na pas cru bon donner suite à votre demande et nagira pas comme vous nous le demandez.
Recevez, Madame la Présidente, nos meilleures salutations.
Robert Blanchard
Administrateur et
Président de la Commission logement "
Nous avions demandé à entrer en contact pour discuter de la question et agir ensemble pour la suppression de l'art 212-9, car il s'agit d'un dossier oh combien scandaleux !
Le 28-3-06. ADCSTP
Objet
: Temps Partagé UFC - Que Choisir
11 Rue Guénot
75555 PARIS
CEDEX 11
le 16 mars 2010
Monsieur le Président,
Nous
vous remercions d'avoir consacré un article de votre revue de mars 2010
au temps partagé.
Mais nous regrettons que vous parliez de la "
Multipropriété " pour l'évoquer, exactement comme le
font à nouveau (et bizarrement) les sociétés et les gérants
de timeshare, comme les responsables de la commission européenne. Le mot
avait été pourtant proscrit par la première Directive européenne
de 1994, et la seconde Directive de 2009 ne l'emploie pas. Et pour cause
..cela
n'a servi qu'aux escrocs lorsqu'ils ont tenté et tentent encore de faire
croire aux victimes qu'elles achètent de la propriété.
Je
vous signale ce qu'écrivait l'OTE (organisation du Temps partagé
européen) en 1999 : " Il est interdit d'utiliser les termes "
propriété " ou " multipropriété " en
référence aux nouveaux droits de jouissance en alternance ".
(Bulletin d'information juridique de janvier 1999)
Il n'y a donc pas de
multipropriétaires, il n'y a en France que des associés de SCI ou
SCA, ou des actionnaires de SA ; et à l'étranger il y a des possesseurs
de semaines en temps partagé. Nous sommes intervenus de nombreuses fois
à ce sujet auprès de vous et auprès, entre autres, de Mr
Seznec.
Nous sommes très étonnés que votre interlocuteur
privilégié, l'APAF-VTP, ne vous l'ait pas signifié à
nouveau.
Concernant " la nouvelle loi " du 25 juillet 2009, entrée
en vigueur en janvier 2010, nous vous faisons remarquer qu'il ne s'agit que d'une
modification de deux articles de la loi du 6-1-1986, qui demeure.
Par ailleurs,
votre titre " Les associés en copie " est plus que problématique.
Personne ne comprend a priori ce que cela veut dire. Il faut lire le texte proposé
pour comprendre que vous vous félicitez (à juste titre) de la possibilité
enfin acquise de posséder une copie du registre des associés de
chaque société, ce qui n'était pas possible auparavant, par
les bons soins de Pierre et Vacances, entre autres.
Vous vous félicitez en conséquence que l'on puisse enfin sortir du système du temps partagé par la dissolution du fait de la possession du registre des associés Mais cela a toujours été une éventualité, qui est toujours aussi difficile, malgré la possession du registre.
Vous citez le cas de la résidence du Grépon, à propos de laquelle vous auriez pu indiquer que la SCI Clubhotel du Grépon de Chamonix y vendait des parts en temps partagé, au lieu de faire croire quasiment qu'il s'agissait d'une propriété, ou d'entretenir la confusion à ce sujet.
Cette
SCI disposait de 13 appartements ce qui signifie la possibilité théorique
d'avoir 663 associés ayant une semaine (51x13) ou 338 associés ayant
chacun une période de 15 jours (12x13). Selon votre article, il y avait
211 associés, ce qui signifie que de nombreuses semaines d'appartements
n'étaient pas occupées. Vous soulignez le travail pour rechercher
les gens qui sont censés occuper les appartements, lorsque le gérant,
bien intentionné, refuse de donner le registre des associés
Dans
cette SCI, il n'y avait donc que 13 appartements, c'est pourquoi la dissolution
a pu se faire, après des années de travail. En règle générale
il y a plus de 30 appartements dans une SCI, voire 50 à 100. Lorsqu'il
y en a 30, nous avons entre 700 et 1500 associés
Même lorsque
l'on possède le registre des associés (souvent pas à jour,
avec des adresses fausses..), il faut chercher le téléphone qui
ne figure pas, puis écrire avec ses propres deniers à chacun des
associés ou actionnaires
Penseriez-vous que c'est chose simple que
de chercher à provoquer la dissolution dans ces conditions, même
avec un registre ? La réforme de la loi de 1986 a-t-elle ouvert toutes
grandes les portes aux victimes qui cherchent à sortir de cette arnaque
légale ? C'est un peu ce que vous semblez dire !! Cela n'est pas correct.
Vous
soulignez au passage les bienfaits de la nouvelle directive de 2010. Nous vous
invitons à lire ce que nous en disons dans notre site, à la rubrique
" Directive européenne"
Vous indiquez que, selon l'APAF,
Pierre et Vacances, ayant racheté Maeva, laisserait volontairement aujourd'hui
pourrir la situation
. Quel est le sens de cela ?
Le gérant Pierre
et Vacances, SGRT ou Club Hotel, envoient par dizaines, pour chaque SCI ou SA
en France, des assignations à ceux qui refusent de payer les charges, parce
qu'ils veulent depuis des années s'en aller et ne peuvent pas. Leur aimable
avocat est l'éternel M° Nébot. Nous recevons actuellement près
d'une copie d'assignation tous les deux jours. Cela s'appelle-t-il " laisser
pourrir la situation " ? Pourquoi nourrir des illusions ? Pierre et Vacances
n'est pas prêt à lâcher son os qu'est le temps partagé
!
Depuis quelques années, nous ne comprenons pas, et nos adhérents
ne comprennent pas, pourquoi " Que Choisir " n'est pas mieux informé
sur ce sujet, n'est pas plus objectif, ne se place pas de façon décisive
du côté des victimes ?? Pourquoi ? Alors que sur d'autres sujets,
vous vous révélez être les mieux informés et les plus
percutants ?? Pourquoi ?
Nous serions très heureux que vous publiez
cette lettre dans votre prochaine revue. Vous feriez ainsi la preuve de votre
objectivité.
Nous vous en remercions à l'avance.
Recevez
nos meilleures salutations.
(Le journaliste qui a écrit l'article incriminé, Mr Seznec, s'est dit choqué que nous ayons écrit à la direction de Que Choisir, et pas à lui. Nous lui donnons acte de cette remarque critique. Nous aurions dû en effet écrire à lui. Mais Mr Seznec nous dit qu'il conteste absolument avoir commis des erreurs dans son article...Là nous lui avons répondu qu'un journaliste, qui écrit un article sur le timeshare, travaille 5 ou 6 heures et croit tout savoir... ce qui est inexact, alors que nous, nous avons le nez dans les problèmes du temps partagé à longueur de temps ! Nous avons plus de chance de mieux savoir que les journalistes.....
Nous écrivons à la direction de Que Choisir en indiquant que nous n'avons nullement voulu nuire à Mr Seznec; nous ne sommes pas d'accord avec lui, c'est tout. Et après tout, un journaliste a le droit de choisir ses sources et de prendre le parti de qui il veut; mais c'est dommage pour les victimes du temps partagé... Le 19-3-2010 ADCSTP)
Ci-dessus: la lettre que nous avons faite à un journaliste de Que Choisir
par l'intermédiaire de sa direction. Nous aurions dû écrire
à lui. Nous nous en sommes excusés.... Mais le journaliste
n'en démord pas, il dit avoir raison. Le mot qui désigne le possesseur
de semaines de temps partagé, c'est le "multipropriétaire",
dit-il ; et de citer les ministres, les députés, les fonctionnaires
de l'union européenne, les annonceurs des lois dans le jounal officiel
(eh oui...), en somme toutes les personnes qui se croient habilitées
à dire n'importe quoi au motif de ... (leurs salaires, leurs doubles
ou triples retraites, leur méconnaissance des lois, leur paresse, leurs
bonnes relations avec la profession du temps partagé trop heureuse d'avoir
semé la confusion.......?).. Mais nous, association, nous ne savons rien,
même si nous travaillons sur les textes de lois, sur des dossiers, avec
des avocates, nous sommes nuls... En plus nous sommes bénévoles
et eux ont un salaire, raison de plus sans doutes ! Eux savent, ils ont reçucé
d'autres articles et des copies d'écrits pendant quelques heures,
mais ils n'ont pas consulté les textes de lois ( un journaliste se
permet de parler du droit sans connaître les textes légaux ! Il
faut le faire !)
Rappels: il n'y a que des associés de SCI ou des actionnaires
de SA en France, et à l'extérieur des possesseurs de semaines en
temps partagé qui ne valent rien.... Il n'y a pas de "multipropriétaires",
le mot a été répudié au moment du vote de la Directive
européenne de 1994; mais c'est tellement intéressant de faire croire
aux victimes du temps aprtagé qu'ils sont propriétaires !
On
assiste à l'inversion des rôles, dans les articles de journaux,
dans les émissions de radio, ILS SAVENT, eux. Ils sont prêts à
nous donner des leçons; ils n'acceptent pas qu'on leur dise "Vous
vous trompez"... Signe des temps ! Les ministres et les députés
ne se trompent jamais; les gens haut placés et leurs valets ne se trompent
pas.
La récompense pour les bénévoles ? Vous êtes
des moins que rien... à la limite des gens subversifs.
Mais l'arrogance
de ces gens, souhaitons le, finira par se retourner contre eux.Nous pouvons au
moins dire que nous ne sommes achetés par personne, et que nous sommes
indépendants. Le mouvement associatif indépendant a-t-il encore
une longue vie ?
ADCSTP
Mr Seznec écrit:
"Je vous suggère, si vous le voulez bien, davancer méthodiquement. Vous avez contesté le droit pour un journaliste demployer lexpression « multipropriété ». Je soutiens que cet emploi est tout à fait correct, dans la mesure où le terme est dusage courant, admis par les institutionnels et tout à fait explicite. Je neste pas en justice, ma maitrise en droit est désormais loin.
Certaines de vos objections métonnent. Ranger le journal officiel parmi les « commentateurs » abusé par la profession, par exemple, me parait très curieux.
Quant à me « disculper » auprès de Que Choisir Je crois que vous vous méprenez sur le sens de ma démarche. Je crois avoir jusquà un point raisonnable la confiance de mes supérieurs et je ne cherche absolument pas à me disculper. Je réagis simplement à des messages contenant un certain nombre de reproches et dinsinuations sur ma compétence, insinuations que je nai aucune raison de laisser passer.
Je trouve du reste vos courriers étrangement longs, venant dune personne nayant « pas le temps » dargumenter sur des points non juridiques.
Vous parler de me mentionner dans votre gazette sur votre site. Je ne pense pas nos échanges passionnent les particuliers victimes de la multipropriété. Le cas échéant, du reste, ma réponse, que votre courtoisie ne manquerait pas de vous faire publier sans délai, serait rédigée avec un soin tout particulier.
Salutations,
ES"
La
réponse de AMC :
-Il est troublant que vous attachiez tant
d'importance à ce que je dis puisque "de votre point de vue"
vous avez raion de façon indubitable, et quoiqu'on vous dise.
-Vous
allez chercher jusqu'au présentateur du JO pour me dire "J'ai raison".
Vous avez raison, les gens incompétents sont placés très
haut dans les appareils d'Etat et d'informations (1). Sauf que le terme en question
"multipropréité" ne figure pas dans les textes de lois.
Et nous devons dire aux victimes des choses précises et justes pour les
empêcher de croire qu'ils sont propriétaires. Je me suis fâchée
avec un ami qui me disait être propriétaire dans le temps partagé,
il a fallu que je lui mette les lois de 86 et de 98 sous le nez. Et encore...
Vous êtes comme lui ! débrouuillez vous avec votre ego !
L'ennui,
c'est que vous avez, vous aussi, la tâche d'informer les victimes. Or je
n'ai jamais vu Que Choisir informer correctement les gens dans le domaine du Timeshare,
malgré nos remarques. Vous n'êtes pas le 1° journaliste et vous
ne serez pas le dernier à être dans ce cas.
Ce qui m'étonne
c'est votre acharnement dans un domaine qui ne vous est pas familier.
-En effet
je n'ai pas le temps, et là je perds du temps. Mais j'essaye d'être
correcte en expliquant. Mais là j'ai assez expliqué. Je laisse tomber.
Vous voulez que notre dernier échange soit publié ? OK, je publie
tout sans rien omettre... On n'a rien à cacher.
Bien à vous.
AMC
(1)Mr Seznec m'a envoyé plein de textes
d'institutionnels qui emploient le mot en question, je peux lui en envoyer encore
plus, sauf que l'OTE évite de l'employer.
La
question est-elle de savoir si un nombre considérable de gens incompétents
utilisent le mot (ce qui est le cas), ou le mot corect qu'il convient d'utiliser
à l'usage des victimes ? .